À partir de son roman Bullshit, Ceci n’est pas une histoire d’amour, Nicole Kranz revisite sa propre histoire : celle d’une relation toxique avec cet homme, un pervers narcissique manipulateur. Un épisode où beaucoup se reconnaîtront, et pour d’autres, un point de départ pour comprendre, prévenir, ou simplement ouvrir les yeux. Elle parle sans détour de violences sexuelles et des mécanismes de manipulation, de la manière dont ils s’installent, subtilement, progressivement, du début à l’effondrement.

Elle aborde la violence psychologique, insidieuse et silencieuse, souvent invisible pou l’entourage et difficile à nommer pour celui ou celle qui la subit. Un échange sans filtre sur le déni, la honte et la lente reconstruction. Un épisode intime, brut et nécessaire.

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À partir du roman Katoï, Nicole Kranz interroge notre rapport à la norme : cette société de cadres, de cases, de règles. Elle évoque le malaise collectif, la pression sociale, le poids du regard des autres, et l’inconfort face à la différence. Transition de genre, maladies invisibles, l’importance de l’entourage… autant de sujets que l’on préfère éviter ou taire.

"Dans cette société, on met le corps, l’esprit et le cœur tous ensemble -- faut-il encore les dissocier pour pouvoir se les réapproprier ?"

Un épisode sur le silence, le jugement et le courage de ceux qui ne rentrent pas dans les cases.

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Un épisode où le titre du podcast, Joli Bordel, prend tout son sens : on parle de spiritualité, d’endurance, de souffrance psychologique, de dépaysement intérieur, de l’importance de la discipline, de ces rencontres qui changent une vie, de la société d’hier, plus libre, et de celle d’aujourd’hui, plus cadrée.

À partir du roman Le Temps d’une seconde vie, qui retrace le parcours de Salvatore, jeune immigré italien arrivé à Paris dans les années 80, Nicole Kranz explore dans cet épisode la transformation de soi face aux épreuves.

Une réflexion sur le chaos qu’il faut parfois traverser, sur ce qu’il faut perdre pour mieux se retrouver, et se réinventer.

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Un épisode de bilan, d’une femme apaisée. Nicole clôture cette première série avec ce sentiment d’avoir fait le tour, ou presque, de ses propres jolis bordels.

Elle évoque ce calme intérieur, ce moment où enfin tout s’aligne, sans bruit : celui qu’on construit seule, entourée uniquement de ce qui fait du bien. Du corps qui change, de la maladie auto-immune, de l’âge, du temps qui passe, et de cette harmonie qui s’installe.

Elle revient sur la solitude qu’elle a apprise, choisie, et apprivoisée. Sur le fait de bien s’entourer - ou de ne pas s’entourer du tout - quand c’est plus sain comme ça.

Et puis, il y a le pardon. Celui qu’on s’offre à soi-même d’abord, puis aux autres. Pas pour oublier, mais pour ne plus rester prisonnière de ce qui fait mal. Pour avancer. Un épisode sur la liberté, celle où l’on dit non sans culpabilité et oui par choix.

Un joli bordel, toujours. Mais rangé à sa façon. Et enfin être en paix et dire avec plaisir “foutez-moi la paix!”

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