Dans cette seconde partie, Luce* se retrouve sur le banc des accusée. Dans le huis clos d’un tribunal, tout se rejoue : le doute, la peur, les choix faits à l’aveugle. Ce deuxième volet interroge : peut-on répondre de ses actes réalisés des années auparavant ? Peut-on répondre pénalement d’une faute dont on ne mesure pas les contours ?

Rendez-vous sur la première partie de l'épisode pour mieux comprendre l’affaire.

*Le prénom a été modifié.

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De quoi sommes-nous capables par amour ? Luce*, une jeune femme de 18 ans, tombe amoureuse d’un homme plus âgé. Un jour, il lui demande de lui rendre un service. Luce accepte, sans vraiment comprendre ce dans quoi elle s’embarque. Des années plus tard, la police frappe à sa porte. Était-elle manipulée ? Ou pleinement responsable de ses actes ? Peut-on être complice sans en avoir conscience ?

Dans ce cinquième épisode, découpé en deux parties, on remonte le fil d’une histoire d’amour toxique, de manipulation et d’ambiguïtés morales.

La seconde partie est à retrouver la semaine prochaine.

*Le prénom a été modifié.

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À 19 ans, Manue rencontre l’amour. Si le coup de foudre est immédiat, l’insouciance des débuts ne sera que de courte durée. Très vite, une grossesse surprise vient bousculer ses plans. Mais que faire quand rien de tout cela n’était prévu ? Quand le cercle familial est absent ? Quand les professionnels de santé eux-mêmes remettent en question vos choix ? Avorter ou garder cet enfant ? Malgré les obstacles, Manue décide de tout plaquer pour tracer sa propre route et, sans le savoir, amorcer sa reconstruction.

⚠️ Si vous traversez une situation similaire ou que vous vous sentez isolée, des soutiens associatifs, médicaux et financiers existent pour vous accompagner. N’hésitez pas à en parler à un professionnel de santé ou à contacter des associations de soutien à la parentalité, à l’IVG ou aux jeunes femmes en difficulté.

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Au milieu des grosses tours des quartiers d’affaires, l’étouffement peut vite arriver. Là où le surinvestissement est valorisé et le présentéisme érigé en norme, l’asservissement n’est pas loin. En France, on estime que 300 000 à 500 000 personnes seraient en situation de burn-out. Et les jeunes ne sont pas épargnés. Selon une enquête OpinionWay pour Empreinte Humaine (9 mars 2023), 55 % des moins de 29 ans souffrent de détresse psychologique, un état mêlant épuisement et symptômes dépressifs. Une spirale silencieuse, insidieuse, comme celle qu’a vécue Andréa*. Jusqu’au jour où la prise de conscience surgit : « Je suis trop jeune pour faire un burn-out. » Travailler oui, mais à quel prix ? Et après le constat, que se passe-t-il ? Comment s'en remettre ?

*Le prénom a été modifié.

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