• Livres audio par Audiolude

  • 著者: Alain Couchot
  • ポッドキャスト

Livres audio par Audiolude

著者: Alain Couchot
  • サマリー

  • Audiolude vous propose une sélection de livres audio classiques.

    Narrateur : Alain Couchot.

    Visitez le site audiolude.fr pour découvrir d'autres livres audio.

    Mon Appli pour iOS :
    https://cutt.ly/MiyNV7x

    Mon Appli pour Android :
    https://cutt.ly/WiyMaVK

    Mes livres audio sur Spotify :
    https://cutt.ly/QiyMc8u

    Mes livres audio sur Deezer :
    https://cutt.ly/6iyMOs0

    Mes livres audio sur Apple Music :
    https://cutt.ly/riyML14

    Ma chaîne Youtube :
    https://youtube.com/user/Audiolude

    Mes livres audio sur Audible :
    https://cutt.ly/MiyM2zx

    .
    Alain Couchot
    続きを読む 一部表示

あらすじ・解説

Audiolude vous propose une sélection de livres audio classiques.

Narrateur : Alain Couchot.

Visitez le site audiolude.fr pour découvrir d'autres livres audio.

Mon Appli pour iOS :
https://cutt.ly/MiyNV7x

Mon Appli pour Android :
https://cutt.ly/WiyMaVK

Mes livres audio sur Spotify :
https://cutt.ly/QiyMc8u

Mes livres audio sur Deezer :
https://cutt.ly/6iyMOs0

Mes livres audio sur Apple Music :
https://cutt.ly/riyML14

Ma chaîne Youtube :
https://youtube.com/user/Audiolude

Mes livres audio sur Audible :
https://cutt.ly/MiyM2zx

.
Alain Couchot
エピソード
  • Suicides. Guy de Maupassant.
    2024/11/04

    Nouvelle de Guy de Maupassant lue par Alain Couchot proposée par audiolude.fr

    続きを読む 一部表示
    16 分
  • Vingt mille lieues sous les mers - Première partie - Chapitre 22 - La foudre du capitaine Nemo - Jules Verne
    2024/10/22

    Première partie - chapitre 22 : La foudre du capitaine Nemo

    Proposé par audiolude.fr

    Narrateur : Alain Couchot

    Nous avions regardé du côté de la forêt, sans nous lever, ma main s’arrêtant dans son mouvement vers ma bouche, celle de Ned Land achevant son office.« Une pierre ne tombe pas du ciel, dit Conseil, ou bien elle mérite le nom d’aérolithe. »Une seconde pierre, soigneusement arrondie, qui enleva de la main de Conseil une savoureuse cuisse de ramier, donna encore plus de poids à son observation.Levés tous les trois, le fusil à l’épaule, nous étions prêts à répondre à toute attaque.« Sont-ce des singes ? s’écria Ned Land.— À peu près, répondit Conseil, ce sont des sauvages.— Au canot ! » dis-je en me dirigeant vers la mer.Il fallait, en effet, battre en retraite, car une vingtaine de naturels, armés d’arcs et de frondes, apparaissaient sur la lisière d’un taillis, qui masquait l’horizon de droite, à cent pas à peine.Notre canot était échoué à dix toises de nous.Les sauvages s’approchaient, sans courir, mais ils prodiguaient les démonstrations les plus hostiles. Les pierres et les flèches pleuvaient.Ned Land n’avait pas voulu abandonner ses provisions, et malgré l’imminence du danger, son cochon d’un côté, ses kangaroos de l’autre, il détalait avec une certaine rapidité.En deux minutes, nous étions sur la grève. Charger le canot des provisions et des armes, le pousser à la mer, armer les deux avirons, ce fut l’affaire d’un instant. Nous n’avions pas gagné deux encablures, que cent sauvages, hurlant et gesticulant, entrèrent dans l’eau jusqu’à la ceinture. Je regardais si leur apparition attirerait sur la plate-forme quelques hommes du Nautilus. Mais non. L’énorme engin, couché au large, demeurait absolument désert.Vingt minutes plus tard, nous montions à bord. Les panneaux étaient ouverts. Après avoir amarré le canot, nous rentrâmes à l’intérieur du Nautilus.Je descendis au salon, d’où s’échappaient quelques accords. Le capitaine Nemo était là, courbé sur son orgue et plongé dans une extase musicale.« Capitaine ! » lui dis-je.Il ne m’entendit pas.« Capitaine ! » repris-je en le touchant de la main.Il frissonna, et se retournant :« Ah ! c’est vous, monsieur le professeur ? me dit-il. Eh bien ! avez-vous fait bonne chasse, avez-vous herborisé avec succès ?— Oui, capitaine, répondis-je, mais nous avons malheureusement ramené une troupe de bipèdes dont le voisinage me paraît inquiétant.— Quels bipèdes ?— Des sauvages.— Des sauvages ! répondit le capitaine Nemo d’un ton ironique. Et vous vous étonnez, monsieur le professeur, qu’ayant mis le pied sur une des terres de ce globe, vous y trouviez des sauvages ? Des sauvages, où n’y en a-t-il pas ? Et d’ailleurs, sont-ils pires que les autres, ceux que vous appelez des sauvages ?


    続きを読む 一部表示
    28 分
  • Vingt mille lieues sous les mers - Première partie - Chapitre 21 - Quelques jours à terre - Jules Verne
    2024/10/16

    Première partie - chapitre 21 : Quelques jours à terre

    Proposé par audiolude.fr

    Narrateur : Alain Couchot

    Je fus assez vivement impressionné en touchant terre. Ned Land essayait le sol du pied, comme pour en prendre possession. Il n’y avait pourtant que deux mois que nous étions, suivant l’expression du capitaine Nemo, les « passagers du Nautilus, » c’est-à-dire, en réalité, les prisonniers de son commandant.En quelques minutes, nous fûmes à une portée de fusil de la côte. Le sol était presque entièrement madréporique, mais certains lits de torrents desséchés, semés de débris granitiques, démontraient que cette île était due à une formation primordiale. Tout l’horizon se cachait derrière un rideau de forêts admirables. Des arbres énormes, dont la taille atteignait parfois deux cents pieds, se reliaient l’un à l’autre par des guirlandes de lianes, vrais hamacs naturels que berçait une brise légère. C’étaient des mimosas, des ficus, des casuarinas, des teks, des hibiscus, des pendanus, des palmiers, mélangés à profusion, et sous l’abri de leur voûte verdoyante, au pied de leur stipe gigantesque, croissaient des orchidées, des légumineuses et des fougères.Mais, sans remarquer tous ces beaux échantillons de la flore papouasienne, le Canadien abandonna l’agréable pour l’utile. Il aperçut un cocotier, abattit quelques-uns de ses fruits, les brisa, et nous bûmes leur lait, nous mangeâmes leur amande, avec une satisfaction qui protestait contre l’ordinaire du Nautilus.« Excellent ! disait Ned Land.— Exquis ! répondait Conseil.— Et je ne pense pas, dit le Canadien, que votre Nemo s’oppose à ce que nous introduisions une cargaison de cocos à son bord ?— Je ne le crois pas, répondis-je, mais il n’y voudra pas goûter !— Tant pis pour lui ! dit Conseil.— Et tant mieux pour nous ! riposta Ned Land. Il en restera davantage.— Un mot seulement, maître Land, dis-je au harponneur qui se disposait à ravager un autre cocotier, le coco est une bonne chose, mais avant d’en remplir le canot, il me paraît sage de reconnaître si l’île ne produit pas quelque substance non moins utile. Des légumes frais seraient bien reçus à l’office du Nautilus.— Monsieur a raison, répondit Conseil, et je propose de réserver trois places dans notre embarcation, l’une pour les fruits, l’autre pour les légumes, et la troisième pour la venaison, dont je n’ai pas encore entrevu le plus mince échantillon.— Conseil, il ne faut désespérer de rien, répondit le Canadien.— Continuons donc notre excursion, repris-je, mais ayons l’œil aux aguets. Quoique l’île paraisse inhabitée, elle pourrait renfermer, cependant, quelques individus qui seraient moins difficiles que nous sur la nature du gibier !— Hé ! hé ! fit Ned Land, avec un mouvement de mâchoire très-significatif.— Eh bien ! Ned ! s’écria Conseil.— Ma foi, riposta le Canadien, je commence à comprendre les charmes de l’anthropophagie !— Ned ! Ned ! que dites-vous là ! répliqua Conseil. Vous, anthropophage ! Mais je ne serai plus en sûreté près de vous, moi qui partage votre cabine ! Devrai-je donc me réveiller un jour à demi dévoré ?— Ami Conseil, je vous aime beaucoup, mais pas assez pour vous manger sans nécessité.


    続きを読む 一部表示
    30 分

Livres audio par Audioludeに寄せられたリスナーの声

カスタマーレビュー:以下のタブを選択することで、他のサイトのレビューをご覧になれます。