Aujourd’hui, je vous emmène avec moi sur un morceau de mon chemin. Un chemin où l’on passe du contrôle à l’abandon, de la Terre au Galactique, de l’intellect à la foi.

J’ai d’abord exploré le magnétisme, l’énergie, la médiumnité, le yoga. Puis les rituels sont venus naturellement. La sorcellerie s’est imposée. Pas celle des livres ou des dogmes, mais la mienne. Une magie vivante, incarnée, sauvage.

Et le chamanisme… Ce lien si fort avec les animaux, avec les éléments, cette danse primitive avec le tambour. Ce fut une évidence. Les transes ont ouvert une autre réalité. Des dégagements, des soins, des traversées puissantes où mon corps devenait le canal de forces plus grandes que moi. Là, j’ai découvert ce qu’était la foi.

Il y a quelques années, lors d’une transe, j’ai lâché. Totalement. Je suis sortie du mental, sortie du cadre, pour laisser l’énergie me traverser. J’ai reçu un langage chamanique venu du fond de la terre. J’ai ressenti le sauvage me prendre, me modeler. Et là, j’ai compris que mon chemin ne serait plus jamais comme avant.

J’ai appris à canaliser pour des dégagements puissants, à offrir mon corps aux archétypes, aux animaux alliés, aux énergies divines. Et plus je m’abandonnais, plus les voiles tombaient.

Et puis… il y a eu une autre révélation. Plus subtile. Plus céleste.

Un jour, alors que je canalisais, une langue inconnue est sortie. Une vibration douce, chantante, cristalline. Ce n’était pas le langage de mes trances chamaniques. C’était autre chose. C’était… galactique. Et avec elle, une vision claire : je devenais un pont. Un lien entre la Terre et le Ciel, entre l’ombre et la lumière, entre l’instant et l’infini.

Ce langage, ces énergies galactiques, m’ont reconnectée à quelque chose d’encore plus vaste. Plus doux, mais tout aussi puissant. Elles sont venues s’installer en moi. Et elles ont tout changé.

Durant ces derniers mois, mon entreprise a elle aussi dû se transformer. Car on ne peut pas proposer ce qui ne vibre plus. On ne peut pas enseigner ce qu’on ne vit plus. J’ai dû faire preuve de courage et de foi pour lâcher voir transformer certaines offres.

C’est ainsi qu’un nouvel accompagnement est né. Il m’a été montré en vision : un immense triangle de lumière, partant de mes pieds, s’élevant au ciel, fusionnant l’énergie chamanique de la terre et celle, galactique, du cosmos. Une structure vibratoire sacrée, que je suis venue accoucher pour ceux qui sont prêts à vibrer à travers toutes leurs dimensions.

Je ne cherche plus à tout expliquer. Je ne cherche plus à mettre des mots sur tout. Ce besoin de validation mentale, je l’ai laissé derrière moi. Il a été utile, rassurant, structurant. Mais aujourd’hui, j’ai foi. Foi en ce que je ressens. Foi en ce que je vis. Foi en ce que je transmets.

Ma spiritualité n’est plus quelque chose que je cherche à comprendre. Elle est devenue quelque chose que je vis. Que j’incarne. Que je transmets. Sans avoir besoin d’en faire une démonstration.

Pour celles et ceux qui se sentent appelés

Peut-être que toi aussi, tu es dans une phase de bascule. Peut-être que ton corps t’appelle. Peut-être que tu te sens désalignée dans ce que tu proposes, dans ce que tu vis, dans la façon dont tu crées. Peut-être que tu sens que tu n’es plus là où tu étais. Et c’est normal.

Ce que je veux te dire, c’est que c’est ok de changer. C’est ok d’évoluer. C’est ok de ne plus comprendre. Ce qui compte, ce n’est pas d’expliquer. C’est de vivre. C’est de suivre cette vibration qui t’appelle, même si elle ne ressemble à rien de connu.

Parce que ta magie est là. Dans ce que tu es. Dans ce que tu vis. Et dans ce que tu vibres.

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Et pour cela, il y a un concept dont j’ai envie de te parler aujourd’hui : Vairāgya, le détachement.

C’est un des piliers du Yoga selon les Yoga Sūtra de Patañjali. Vairāgya est souvent traduit par « détachement ». Mais attention : ce n’est ni du rejet, ni de l’indifférence, ni une carapace qu’on se forge pour éviter de souffrir. C’est un mouvement d’amour.

Détachement ne veut pas dire « se couper ». Il s’agit plutôt de savoir vivre, aimer, créer, ressentir... sans s’accrocher. C’est une danse avec la vie, où l’on goûte tout, mais sans vouloir tout posséder. C’est embrasser le mouvement sans chercher à le figer. Ce n’est pas une fuite du monde, c’est une fusion avec lui, mais sans dépendance.

Patañjali parle de deux niveaux de détachement :

1. Le premier, plus accessible, concerne ce que l’on perçoit et ressent. Se libérer du besoin d’avoir, de désirer, d’accumuler.

2. Le second est plus subtil : il concerne le renoncement au besoin d’être « quelqu’un ». Ne plus courir après la reconnaissance, la réussite, la sagesse ou même l’accomplissement spirituel. Juste être. Dans l’étendue du Soi.

Et c’est justement cette deuxième forme que j’ai rencontrée ces derniers mois.

Le détachement n’est pas un renoncement, c’est une libération.

Il ne s’agit pas d’être insensible, rigide ou au-dessus de tout. Il s’agit d’être en paix avec ce qui est. D’aimer sans posséder. De remercier même les épreuves. C’est une sagesse tendre, une confiance radicale dans la vie.

Ce que j’observe dans mes accompagnements, c’est que ce sont souvent les attachements à l’image, aux attentes, au regard des autres qui bloquent l’abondance. Parce qu’on croit que l’abondance est à mériter, à atteindre, à valider. Mais non. Elle se reçoit. Et pour la recevoir, il faut s’abandonner. Vraiment.

Se détacher des résultats. Des objectifs. De la peur de ne pas être assez. Se reconnecter à cette vérité qui réside au-delà des illusions de l’ego.

L’abondance ne répond pas à la peur. Elle résonne avec l’abandon.

Et c’est tout le propos de l’immersion Abondance que j’ai créée. Un espace vibratoire pour reprogrammer ce qui entrave la réception, pour faire tomber les derniers voiles, pour reconnecter la structure à la fréquence de l’abondance divine. Nous commençons par un soin énergétique et une hypnose de déprogrammation, poursuivons avec des constellations systémiques et un réencodage cellulaire profond.

Tout est prêt pour que tu reçoives, si tu es prêt(e) à te détacher, à t’abandonner, à faire confiance.

Parce que tu es déjà cette vague de l’océan. Tu n’as rien à mériter. Rien à prouver. Juste à vibrer.

Tu es. Et c’est suffisant.

L’immersion Abondance reste ouverte jusqu'à ce soir minuit. Si tu ressens l’appel, je serai honorée de t’y accueillir. Toutes les infos sont ici

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Pendant longtemps, j’ai parlé de ma fameuse boîte à l’Univers. Un outil que je proposais pour t’aider à lâcher prise : tu y déposes tes attentes, tes peurs, tes obsessions. Tu y écris ce qui te hante, ce que tu veux voir évoluer, ce que tu n’arrives plus à contrôler. Une fois déposé, tu laisses faire. Tu t’en remets à plus grand. À Dieu. À la vie.

Mais cette boîte, aussi précieuse soit-elle, n’est qu’une première étape. Car elle part encore d’une volonté de faire, de contrôler à moitié. C’est encore l’humain qui dit : « Voilà, maintenant je laisse faire. »

Là où je veux t’emmener, c’est plus loin. Vers l’abandon total.

S’abandonner, ce n’est pas renoncer. C’est se déposer dans les bras du Divin, c’est cesser de croire que tout repose sur nos épaules. C’est comprendre que notre mental, notre ego, nos peurs ne sont que des programmes limitants, et que l’énergie de la vie demande à circuler librement à travers nous.

Quand on s’abandonne, on devient canal. Que ce soit pour guérir, transmettre, aimer ou créer, on se met au service. Et cette posture transforme absolument tout : notre manière d’accompagner, de vivre, de recevoir, de vibrer.

S’abandonner, c’est quitter l’illusion du contrôle pour entrer dans la maîtrise sacrée : celle de se connaître assez pour s’effacer au profit d’un flux plus grand.

Je crois que notre seul véritable libre arbitre, c’est celui de dire oui ou non au travail intérieur. De choisir de se laisser traverser. De choisir de plonger dans ses schémas pour les transformer. On peut choisir de nous aligner à la vie.

Et cet alignement, cette confiance, cette foi, ce sont des muscles subtils qui se développent dans la présence, dans l’humilité, dans la constance. Et dans une compréhension vibratoire de ce que nous sommes.

Depuis plusieurs mois, je canalise une nouvelle manière de soigner et d’accompagner. Une méthode vibratoire, structurelle, qui travaille au niveau de l’ADN énergétique, bien au-delà des mots, bien au-delà du mental. C’est un soin profond, subtil, qui réinforme la structure de ton être.

Cette médecine vibratoire, je te propose de la vivre dans une immersion, dédiée à l’abondance.

L’abondance qui découle naturellement d’un être aligné à sa vibration originelle, à sa nature divine.

Cette immersion, c’est pour toi si :

• Tu as déjà travaillé sur toi.

• Tu sens que tu as atteint un plafond de verre.

• Tu veux aller plus loin, plus profondément, dans ta structure.

• Tu veux t’abandonner au Divin, au Grand Tout, pour recevoir ce qui est juste.

Découvre l'immersion Abondance ici : https://christelcelisse.systeme.io/abondance

• Dates : du 18 juin au 2 juillet.

• Places : 6 personnes max

• Accès aux replays : jusqu’au 27 juillet.

• Inscriptions : ouvertes jusqu’au 17 juin à minuit.

C’est un écrin quantique, un appel à se laisser transpercer par la lumière divine pour réactiver en soi l’accès à une abondance naturelle.

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