Aujourd'hui on parle de reconversion professionnel : devenir thérapeute.

Être thérapeute, ce n’est pas distribuer des conseils ou appliquer des protocoles en série. C’est un chemin initiatique. C’est apprendre à se regarder en face, à plonger dans ses ombres, à reconnaître ses blessures, ses projections, ses conditionnements. C’est comprendre que tu ne pourras jamais accompagner quelqu’un plus loin que là où tu es allée toi-même.

“Qui suis-je pour faire ça ?”
“Est-ce que j’ai un don ?”
“Et si je ne suis pas prise au sérieux ?”
Ces voix-là, toutes les thérapeutes en devenir les connaissent. C’est normal. Mais elles ne doivent pas devenir un mur. La légitimité ne vient pas d’un tampon officiel. Elle naît de l’alignement entre qui tu es et ce que tu proposes.

Et non, ce n’est pas parce qu’il y a “trop” de thérapeutes qu’il n’y a pas de place pour toi. Ce que les gens viennent chercher, c’est toi. Ta sensibilité. Ton histoire. Ton énergie. Ton unicité. Il ne s’agit pas de se comparer. Il s’agit de s’incarner.

Une reconversion réussie commence toujours par une formation solide. Pas un week-end à cocher dans l’agenda. Mais un véritable cursus qui t'accompagne en profondeur, qui te donne des outils concrets, mais surtout qui t’invite à te révéler.

Une bonne formation, ce n’est pas un moule. C’est un espace. Un espace pour apprendre, intégrer, digérer, expérimenter, oser. Un espace pour que ton identité de thérapeute émerge et prenne forme, avec puissance et authenticité.

Tu mérites un enseignement éthique, incarné, ancré. Un enseignement qui prend en compte l'humain, le soin… et l'entrepreneuriat.

Parce que oui, c’est là que beaucoup se plantent. Être thérapeute, c’est aussi créer une entreprise. C’est apprendre à te rendre visible, à structurer ton activité, à parler de ce que tu fais, à poser des tarifs justes, à accueillir l’argent.

Et là encore, il y a des ombres à aller regarder. Le syndrome de l’imposteur, les croyances autour de la gratuité, le tabou de l’argent, la peur de se mettre en avant.

Créer une activité de soin, ce n’est pas juste faire des séances. C’est bâtir un écosystème : ton offre, ton message, ton rythme, tes valeurs.

Le monde a besoin de thérapeutes

Plus que jamais. Il a soif de guérison, d'écoute, de conscience. Les thérapeutes sont les artisans de cette nouvelle ère.

Si tu cherches une formation complète, incarnée, profonde et professionnalisante, j’ai créé TRANSMISSION, un cursus de 15 mois pour devenir thérapeute holistique et vivre pleinement de ton activité.

Un cursus où tu ne seras pas juste formée.
Tu seras transformée.

Je t’y transmets tout ce qui m’a permis de bâtir une pratique alignée, riche, vibrante et stable. On y parle d’outils, bien sûr, mais aussi de posture, de présence, de valeur.

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Aujourd’hui, j’ai envie de te parler de oser devenir thérapeute.

Il y a ces femmes que je croise et en qui je vois immédiatement un potentiel de thérapeute. Elles sont à l’écoute, sensibles, avec une conscience fine d’elles-mêmes, une humilité précieuse et une vraie intelligence émotionnelle. Pourtant, beaucoup restent figées dans une réalité qui ne les nourrit pas vraiment. Pourquoi ? Parce que la peur parle plus fort que l’appel de l’âme.

Elles se racontent qu’elles feront ça "à côté", "plus tard", "quand ce sera le bon moment". Mais soyons honnêtes : ce moment-là, si tu ne le choisis pas, il ne viendra jamais.

On a toutes besoin de stabilité. Mais parfois, cette "sécurité" devient une prison dorée. Et pendant que l’âme hurle qu’il est temps, qu’il est l’heure, on se tait. On remet à plus tard. On choisit l’existant, le connu, plutôt que l’incertain mais vibrant.

Et le temps passe.

La peur ne disparaît jamais… mais on peut apprendre à marcher avec elle

Le passage vers l’entrepreneuriat n’est pas un saut de licorne dans un arc-en-ciel. C’est un saut dans le vide. C’est un chemin de foi, de confiance, de détermination. Et oui, ça demande de l’énergie. Ça demande du temps. Ça demande un engagement fort. Devenir thérapeute, c’est avant tout traverser ses propres ombres, apprendre à se renouveler, à créer, à se mettre en mouvement encore et encore. Et c’est là que réside la vraie puissance.

Il y a des phases intenses, des phases de doute, des vagues de fatigue, des pics de joie. C’est vivant. C’est cyclique.

J’aime comparer ça à une relation amoureuse. Tu peux très bien rencontrer quelqu’un qui t’ouvre le cœur, avec qui tout semble fluide et aligné, mais refuser de t’engager parce que “ce n’est pas le moment”, “tu n’as pas le temps”, “tu as peur de perdre ta liberté”.

Et tu passes à côté d’une relation qui aurait pu être magnifique.

C’est pareil avec ton métier. Tu peux rester à collectionner des miettes de passion dans ton job alimentaire, ou tu peux oser dire oui à ta vocation, même si ça fout la trouille.

🌟 Tu n’as pas besoin d’attendre la retraite pour vivre enfin alignée

Beaucoup attendent “le bon moment”. Et finissent à la retraite, lessivées, frustrées, avec le goût amer de ne pas avoir vécu leur vraie vie.

Mais imagine : et si tu pouvais vivre de ta passion maintenant ? Si tu pouvais allier argent, magie, guérison, transmission et joie ? Si tu pouvais être utile au monde, tout en étant alignée avec ton essence ?

Ça demande juste un choix. Un vrai. Un choix d’engagement, pas seulement de rêve.

Certaines des femmes que j’accompagne dans TRANSMISSION ont encore un travail à côté. Elles ont osé poser une pierre, dire oui à leur appel, sans tout lâcher. Elles sont en formation, elles développent leur style, leurs outils, leur clientèle. Elles avancent, doucement mais sûrement, vers une vie qui a du sens.

Est-ce que ce sont des excuses ou de réels obstacles ? Est-ce que tu retardes encore l’appel de ton âme, ou est-ce que tu es prête à oser ? Est-ce que tu choisis la peur ou la joie ?

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Aujourd’hui, je te partage comment je célèbre Beltane, non pas dans la précipitation d’un unique rituel figé, mais tout au long du mois de mai, au rythme de mes élans, de ma joie. Pas de marathon spirituel ou de "checklist de sabbat à cocher", mais un fil rouge joyeux, créatif, qui m'accompagne plusieurs week-ends de mai.

Mon Arbre de Mai : un autel vivant dans le jardin

L’une de mes premières joies pour Beltane, c’est la décoration de l’arbre de mai. Dans notre jardin, j’ai un arbre bien vivant que j’habille de mille merveilles :

• Rubans colorés (en dentelle, en tissu, en soie),

• Tressages ornés de perles scintillantes,

• Mandalas, attrape-rêves miniatures, clochettes et suspensions en tout genre.

J’aime créer un univers qui joue avec le vent : des éléments qui volent, tintent, scintillent… comme des appels joyeux au petit peuple.

Un dossier féerique pour nos bancs de jardin

Autre création que j’adore : prolonger les dossiers de nos bancs de jardin avec des bâtons décorés, fixés les uns aux autres. Ces bâtons sont récoltés au fil de l’année et prennent vie à Beltane sous mes doigts créateurs.

J’y suspends des éléments enchantés : cristaux, rubans dansants, clochettes… et j’imagine que chaque souffle de vent y chuchote un secret des fées.

Un village pour le petit peuple

L’année dernière, j’ai commencé à créer un village pour les fées en argile autodurcissante. Ce projet me tenait à cœur, et Beltane est le moment parfait pour le reprendre.

Chaque maison est modelée à la main, séchée, traitée, puis fixée sur un piquet pour trôner dans notre friche. Les fées y trouvent refuge, beauté et reconnaissance. Et moi, une immense joie à tisser ce lien magique avec elles.

Offrandes et autel extérieur

Je ne célèbre pas Beltane sans une offrande pour le petit peuple :

• Fruits secs,

• Coupelle de lait,

• Coupelle d’eau,

• Bougie dédiée,

• Fleurs séchées ou en tissu…

Je place tout cela sur une petite table en extérieur, j’ouvre les directions comme en chamanisme, et j’invite les esprits de la nature à venir festoyer. C’est simple, beau, vibrant.

Récolte de la rosée : magie du petit matin

Si le ciel est clément, je dépose un récipient dehors et je récolte la rosée de Beltane.

Je célèbre ces moments spontanés tout au long du mois de mai, et c’est ce que je vous souhaite aussi : du vivant, de la légèreté, de la joie.

💌 Et toi, que fais-tu pour Beltane ?

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