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サマリー
あらすじ・解説
Vers 1830, les compositeurs Boieldieu, Auber, Hérold, Adam, Halévy font rayonner sur toutes les scènes européennes le genre de l’opéra-comique français, qui restera à jamais l’idéal esthétique de Jacques Offenbach.
Si le compositeur tente dès 1845 de faire représenter l’une de ses œuvres au Théâtre de l’Opéra-Comique (aujourd’hui la Salle Favart), ses efforts resteront longtemps vains et il lui faudra attendre 1860 – l’année même de sa naturalisation française – pour parvenir à ses fins. Cinq ouvrages d’Offenbach – un opéra-bouffe, trois opéras-comiques et un opéra fantastique – seront en effet créés au Théâtre de l’Opéra-Comique entre 1860 et 1881.
Mais c’est surtout le texte de lancement en 1856 d’un concours “pour une opérette en un acte" qui constitue le véritable manifeste de la pensée musicale d’Offenbach, indissociablement lié au développement de ce genre lyrique.
Avec Matthieu Cailliez, maître de conférences dans le Département Musicologie de l’Université Jean Monnet à St-Etienne, l’émission revient sur ce 19e siècle musical, où la tragédie lyrique née sous l’ancien régime laisse place à l’opéra comique dont raffolera la bourgeoisie parisienne du Second Empire.
Illustrations sonores de Adam, Auber et Offenbach.
Si le compositeur tente dès 1845 de faire représenter l’une de ses œuvres au Théâtre de l’Opéra-Comique (aujourd’hui la Salle Favart), ses efforts resteront longtemps vains et il lui faudra attendre 1860 – l’année même de sa naturalisation française – pour parvenir à ses fins. Cinq ouvrages d’Offenbach – un opéra-bouffe, trois opéras-comiques et un opéra fantastique – seront en effet créés au Théâtre de l’Opéra-Comique entre 1860 et 1881.
Mais c’est surtout le texte de lancement en 1856 d’un concours “pour une opérette en un acte" qui constitue le véritable manifeste de la pensée musicale d’Offenbach, indissociablement lié au développement de ce genre lyrique.
Avec Matthieu Cailliez, maître de conférences dans le Département Musicologie de l’Université Jean Monnet à St-Etienne, l’émission revient sur ce 19e siècle musical, où la tragédie lyrique née sous l’ancien régime laisse place à l’opéra comique dont raffolera la bourgeoisie parisienne du Second Empire.
Illustrations sonores de Adam, Auber et Offenbach.
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