Le 27 novembre 1964, Mick Jagger se retrouve devant un tribunal à Tettenhall pour des infractions au code de la route. Résultat : une amende de 16 livres. Mais ce qui marque les esprits, c’est la défense de son avocat, qui lance au juge : "Le duc de Marlborough avait les cheveux plus longs que mon client et il a remporté des batailles célèbres. Ses cheveux étaient poudrés, probablement à cause des puces. Mon client n’a pas de puces." Une réplique pleine d’humour, à l’image de l’esprit rebelle des années 60 et de Mick Jagger lui-même. #années60 #années70 #cejourlà #musiqueannées60 #musiqueannées70 #chansonsannées60 #chansonsannées70

Le 26 novembre 1967, Pink Floyd participe à un événement légendaire : le 10e concert d’une tournée britannique de 16 dates en compagnie de The Jimi Hendrix Experience, The Move, The Nice, The Eire Apparent, The Outer Limits et Amen Corner. Ce soir-là, ils jouent au Palace Theatre de Manchester, avec non pas une, mais deux représentations dans la même soirée. Imaginez l’ambiance, entre l’énergie explosive de Hendrix et les sonorités planantes de Pink Floyd, à l’époque où Syd Barrett est encore aux commandes. Une soirée unique qui symbolise la richesse musicale des années 60. #années60 #années70 #cejourlà #musiqueannées60 #musiqueannées70 #chansonsannées60 #chansonsannées70

Retour en 1969, le 25 novembre. John Lennon renvoie son MBE, cette médaille prestigieuse reçue avec les Beatles en 1965. La raison ? Protester contre les actions militaires du Royaume-Uni au Nigeria et des États-Unis au Vietnam. À cette époque, Lennon est à fond dans son combat pour la paix. Et comme toujours, il y met sa touche unique : dans sa lettre, il proteste aussi contre la réception tiède du dernier single des Beatles dans les charts britanniques. Un geste audacieux, mélange d’humour et de rébellion, qui reste dans l’histoire. #années60 #années70 #cejourlà #musiqueannées60 #musiqueannées70 #chansonsannées60 #chansonsannées70

Le 22 novembre 1975, KC and the Sunshine Band frappe fort avec *That's The Way (I Like It)*, qui décroche la première place des classements. C’est leur deuxième numéro un de l’année, après *Get Down Tonight*. Ce titre, c’est tout ce qu’on adore des années 70 : un groove disco irrésistible, une basse qui claque, et un refrain qui reste dans la tête. Impossible de résister, c’était un vrai carton sur les pistes de danse. #années60 #années70 #cejourlà #musiqueannées60 #musiqueannées70 #chansonsannées60 #chansonsannées70

Le 21 novembre 1955, RCA tente un coup de poker monumental en rachetant le contrat d’Elvis Presley pour 35 000 dollars. Oui, c’était une somme incroyable à l’époque ! Elvis n’est alors qu’un artiste local, surtout connu dans le Sud des États-Unis. C’est Sam Phillips, de Sun Records, qui détecte son talent et lance sa carrière. Mais RCA, en prenant ce risque, touche le gros lot. Dès 1956, avec *Heartbreak Hotel*, Elvis décroche son premier énorme succès sous leur label et devient une superstar mondiale. Ce contrat change tout, pas seulement pour Elvis, mais aussi pour RCA, qui s’affirme encore plus comme un pionnier avec ses 33 et 45 tours. #années60 #années70 #cejourlà #musiqueannées60 #musiqueannées70 #chansonsannées60 #chansonsannées70

Le 20 novembre 1971, Isaac Hayes marque l’histoire en atteignant la première place des charts US avec le légendaire *Theme from Shaft*. Ce morceau mythique est un mélange de funk, soul et rythmes syncopés. Impossible de résister à cette intro inoubliable avec la guitare wah-wah, les arrangements orchestraux et la voix profonde d’Isaac Hayes, qui incarne à lui seul l’univers de John Shaft, détective cool et intrépide. Le succès est immense, et en 1972, Hayes devient le premier Afro-Américain à décrocher l’Oscar de la meilleure chanson originale. Vous vibrez encore sur ce groove légendaire ? Partagez vos souvenirs en commentaire ! #années60 #années70 #cejourlà #musiqueannées60 #musiqueannées70 #chansonsannées60 #chansonsannées70

Le 19 novembre 1964, un moment historique pour la musique ! Les Supremes deviennent le premier groupe féminin à décrocher la première place des charts au Royaume-Uni avec *Baby Love*. Ce hit, signé Holland-Dozier-Holland, incarne le fameux *Motown Sound* : une mélodie accrocheuse, des harmonies parfaites, et un groove inoubliable. Aux États-Unis, elles frappent encore plus fort avec un deuxième numéro un d'une série de cinq consécutifs, un record pour un groupe féminin. Avec Diana Ross, Mary Wilson et Florence Ballard, Les Supremes deviennent des icônes des sixties, imposant le style Motown et ouvrant des portes cruciales pour les artistes afro-américains. Vous vous souvenez de ce titre mythique ? Dites-moi en commentaire ! Abonnez-vous, likez, commentez et tapez Nostalgie-plus.be pour me rejoindre à la radio | @STEPHANESHAW #années60 #années70 #cejourlà #musiqueannées60 #musiqueannées70 #chansonsannées60 #chansonsannées70

Bonjour avant tout n'oubliez pas de vous abonner à mon compte, de liker et de commenter. Le 18 novembre 1978, Billy Joel atteint pour la première fois la première place des charts aux États-Unis avec son album *52nd Street*. C’est un vrai tournant pour lui et pour sa carrière. Cet album, son sixième, est un hommage à la 52e rue de New York, un quartier mythique pour ses clubs de jazz. Dans *52nd Street*, Billy Joel mélange jazz, pop et rock pour créer un son sophistiqué mais accessible, qui séduit autant le grand public que les critiques. Des titres comme *My Life*, *Big Shot* et *Honesty* font un carton et propulsent l'album au sommet des ventes. Mais ce n'est pas tout ! Cet album marque aussi un moment technologique important : en 1982, il devient le tout premier album commercialisé en disque compact, symbolisant l’arrivée de la musique dans l’ère numérique. Et en 1979, Billy Joel reçoit même le Grammy de l'album de l'année pour *52nd Street*. Un vrai coup de maître ! Alors, vous, quel titre de cet album vous fait vibrer ? Laissez votre commentaire ! @STEPHANESHAW #années60 #années70 #cejourlà #musiqueannées60 #musiqueannées70 #chansonsannées60 #chansonsannées70